Un Noël philanthropique et local pour les Belges cette année
Une nouvelle enquête Mastercard européenne revient sur les tendances en matière de dépenses pour cette fin d’année 2020

Waterloo, le 10 décembre – Mastercard a révélé aujourd’hui les résultats d’une enquête mettant en avant que le consommateur moyen européen consacrera plus de temps et d’efforts pour les cadeaux qu’il donnera à ses proches ce Noël. Pour les trois quarts des personnes interrogées (77% au niveau européen et 75% au niveau belge), 2020 leur a en effet rappelé ce qui importait le plus dans la vie. Ainsi, 63% des Belges interrogés ont déclaré qu’ils seront plus généreux à Noël cette année. Un chiffre en ligne avec la moyenne européenne établie à 65%.
Les chiffres montrent également que 58% des Européens déclarent compter leurs sous à la fin de cette année difficile. Ainsi, 57% des Belges ont décidé de moins dépenser durant ces fêtes de fin d’année, sauf 16 % d’entre eux, qui sont bien décidés au contraire à se faire plaisir.
L’attention et la personnalisation au centre des préoccupations
Une grande tendance qui ressort également de l’enquête : on pense au-delà du cadeau en lui-même. Plus de la moitié des citoyens européens (51%) et 1 Belge sur 4 (38%) affirment en effet qu’ils apporteront davantage une touche personnelle à leurs cadeaux. 45% d’Européens et quasi le même nombre de Belges (44%), estiment également qu’ils passeront plus de temps à les fabriquer ou à les choisir.
1 Belge sur 5 plus philanthrope
Les défis de 2020 ont rendu les gens davantage bienveillants, y compris envers ceux qu’ils ne connaissent pas. Près de la moitié des Européens (48%) et des Belges (44%) compte acheter des cadeaux qui leur procureront un sentiment de gratitude en retour. 17% des Européens pensent également acheter des cadeaux pour soutenir des personnes dans le besoin, via l’achat de nourriture ou de vêtements ; le même nombre souhaite supporter des causes animales, en achetant par exemple des bons pour l’adoption d’un animal ; un sur cinq (18%) envisage de contribuer à une œuvre caritative ; et enfin, 19% veulent envoyer leurs vœux de fin d’année via des cartes au profité d’une œuvre de bienfaisance. Les Belges de leur côté, suivent cette tendance, chaque fois à 1 ou 2% près, à l’exception du dernier point concernant les cartes de vœux. Chez nous, seuls 15% tendent à des cartes de vœux caritatives.
Les Belges encore plus soucieux d’acheter local
Un autre aspect de l’enquête a porté sur les lieux où les Européens feront leurs achats cette année. Sans surprise : une personne sur deux (50%) effectuera ses achats de Noël auprès des commerces locaux. 59% avec l’intention de contribuer directement à la relance de leur quartier et leur communauté ; 44% envisagent d’acheter des bons-cadeaux auprès de petites entreprises locales ; au niveau alimentaire, 61% se fourniront en aliments et en boissons de réveillon dans un commerce local et 27% ont déjà ou vont réserver leur dîner de Noël auprès d’un restaurant de leur quartier. 57% des Belges ont déclaré porter davantage attention aux magasins où ils feront leurs achats cette année.
Un « Bon pour un moment de qualité ensemble » sous le sapin pour 3 Belges sur 10
Enfin, voilà le top 5 des cadeaux auxquels les Européens, tout comme les Belges pensent à mettre sous le sapin : des paniers faits maison (38%) ; des packs bien-être (37%) ; une photo encadrée (35%) ; un bon pour passer un moment de qualité ensemble (32%) ; et des décorations personnalisées (26 %).
« Pour beaucoup d’entre nous, Noël sera sans aucun doute très différent cette année. La saison des fêtes a toujours été un moment de shopping intense, mais 2020 étant une période difficile pour tous, il est réconfortant de voir des gens à travers l’Europe consacrer plus de temps, de réflexion et de touches personnelles à leurs cadeaux de Noël », a déclaré Henri Dewaerheijd, Country Manager Belux Mastercard. « Les petites entreprises sont l’épine dorsale de l’économie européenne, alors acheter localement pour ses courses de Noël fera une énorme différence non seulement en aidant à reconstruire notre économie locale, mais aussi l’économie dans son ensemble.»